En 2048. Doug Quaid rêve chaque nuit qu'il est sur la planète Mars ; mais est ce vraiment un rêve ou un choix futur qui va le guider vers une terrible décision ?
La sortie en salles cette semaine d’Avatar 2 la voie de l’eau nous a donné envie de reprendre notre série chromatique dans Blow up, avec donc aujourd’hui, avant le rouge, le vert ou le jaune, la couleur bleue au cinéma. Alors quelles pourraient bien être nos films/scènes bleus préférés de l’Histoire du cinéma ?
1931, le cinéma est devenu parlant.
Charles Chaplin, Fritz Lang, deux des réalisateurs les plus importants de la période du muet, se retrouvent confrontés à cette nouvelle donne. Son synchrone, bruitage, musique, dialogue : le cinéma en est bouleversé.
Voyons comment les réalisateurs de M LE MAUDIT et LES LUMIÈRES DE LA VILLE vont prendre en prendre en main ces nouveaux outils pour les adapter à leur cinéma.
Une plongée dans la vie et les écrits d’un extraordinaire écrivain de science-fiction, Philip K. Dick ("Minority Report", "Blade Runner"), dont l’oeuvre a anticipé comme aucune autre le monde paranoïaque et technologique de notre XXIe siècle.
L’œuvre de K. Dick est souvent comparée à celle de Kafka, Orwell et Asimov, mais plus de trente ans après sa disparition, l’écrivain semble être le plus visionnaire de l’ère digitale. Figure de la contre-culture, mais méconnu de son vivant, il fait partie de ces auteurs dont le nom est devenu un adjectif : "dickien". Il existe un sentiment dickien de l’existence, fait de doutes et d’angoisses sur la nature du réel, mais aussi de questionnements sur la notion d’humanité.
Agoraphobe, l'écrivain n’a quasiment jamais quitté sa banlieue californienne, mais a voyagé en esprit à travers un nombre incalculable d'univers – souvent avec l’aide d’amphétamines. Il décrit nombre des thèmes qui hantent nos vies aujourd’hui : les mondes virtuels, les sociétés totalitaires, les technologies asservissantes ou les désastres écologiques.
Et si, en cette période d’Halloween, nous parlions de la fin du monde au cinéma ?
Frédérick Sigrist a choisi de nous parler d'Alien, un film de Ridley Scott sorti en 1979, pour la raison suivante : il est souvent cité comme exemple de la bonne manière de mettre en scène une femme forte à l'écran. Cité par des hommes qui ont souvent des reproches à faire sur la représentation des femmes fortes à l'écran.
Une plongée dans la vie et les écrits d’un extraordinaire écrivain de science-fiction, Philip K. Dick ("Minority Report", "Blade Runner"), dont l’oeuvre a anticipé comme aucune autre le monde paranoïaque et technologique de notre XXIe siècle.
En 1973, "Soleil vert" de Richard Fleischer décrivait un monde suffocant et apocalyptique dont l’action se situait en... 2022. Un demi-siècle après, qu’avons-nous retenu du cri d’alerte lancé par ce film devenu culte ?
Une Amérique plongée dans une canicule permanente, où la nature a disparu. Pour la plupart sans domicile, ses habitants ne reçoivent pour s’alimenter que d’étranges biscuits à base de plancton, distribués par une entreprise tentaculaire... En 1973, Soleil vert de Richard Fleischer, avec Charlton Heston, est le premier film de science-fiction à évoquer non pas une menace exogène (attaque de martiens, guerre nucléaire...), mais une catastrophe climatique et environnementale dont l'homme est le seul responsable. Vrai plaidoyer écologique, le film a également marqué les débuts de la conscience environnementale sur le grand écran et fait à sa suite de nombreux émules à Hollywood. Mais depuis cinquante ans, quelles leçons en avons-nous tiré ?
Dès 1978, Vivienne Dick lance les premiers pavés révolutionnaires du cinéma No Wave, un courant new-yorkais décidé à s'émanciper des règles et des techniques pour filmer à l'instinct, avec les moyens du bord. L'Irlandaise, qui a trouvé refuge dans les clubs du Lower East Side, filme ses nouvelles rencontres avec les figures tutélaires de la scène punk new yorkaise. Un style est né…
Tout le monde a bien compris Don't Look Up. Tout le monde en a parlé. Pourtant, rien ne semble avoir changé et l'urgence climatique se fait toujours plus pressante. Don't Look Up aurait-il donc échoué ?
La cinquième édition de ce festival a l'objectif de "partager des vécus et des solutions ancrées dans la réalité" pour "permettre à chacun d’avancer à sa manière vers la transition écologique". Entretien avec Simon Rossard, l'un des organisateurs.
En octobre dernier, elle vivait une scène digne de « Don’t Look Up. Déni cosmique » sur le plateau de 28 minutes en essayant d’alerter sur le réchauffement climatique au milieu de boomeurs hilares. Chroniqueuse pour LCP et Arte, journaliste économique et politique pour le média indépendant Blast, l’intrépide Salomé Saqué, 27 ans, répond à notre questionnaire cinéphile.
Au premier trimestre 2022, la plateforme Netflix a enregistré une perte de 200 000 abonnés, entraînant une chute de sa valeur en bourse. L'occasion de revenir sur l'histoire et le modèle économique de la plateforme : comment l'empire Netflix s'est-il constitué ? Quelles sont ses perspectives ?