Un espace où vous pourrez retrouver des liens vers des articles qui m'ont interpellé, questionné, ou simplement fait rêver. Telle une constellation d'idées, de réflexions sur notre monde d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
#veille #écologie #social #société #numérique #photographie #jeuxvidéo #cinéma #philosophie #musique #culture #littérature #urbain #santé #psychologie #effondrement #libre #art
Je partage mon temps entre l'accompagnement des citoyens sur les itinéraires du numérique et un travail photographique liant le paysage urbain, le hors champ et le jeu vidéo. Vous pouvez d'ailleurs, retrouver mon carnet de recherches sur mon blog.
Un trombone.
Deux trombones.
Trois trombones..?
En arrivant aux urgences, la responsable de l'accueil prévient : « on ne prend pas les Cartes Vitale, ça ne marche pas ». D'ailleurs, après quelques heures d'attente et dix minutes de (…)
Spec Ops The Line, c'est un de ces jeux qui a marqué son époque. Comme Apocalypse Now et Au Coeur des Ténèbres, il dépeint la guerre comme on la voit peu dans la culture. Mais ici, pas de Vietnam mais plutôt une tempête de sable à Dubaï.
Dentelles, cuir, maquillages macabres, crêtes et crucifix… Symptôme de temps difficiles, le goth revient en grande pompe (funèbre)... Mais cette fois avec un vestiaire plus coloré, une communauté plus diverse, et des soirées techno hardcore qui remplacent le goth rock.
Issu, à l’origine, du courant musical post-punk, le mouvement naît à Londres dans les années 70 sur fond de grande instabilité économique. L'arrivée au pouvoir de la très conservatrice Dame de fer, Margaret Thatcher, déclenche l’émergence de cette contre-culture provocatrice et macabre. Qualifiant d’abord un type de musique, le goth se développe rapidement dans d'autres formes d’expressions artistiques comme la mode, la littérature et le cinéma.
Cinq décennies plus tard, face à la montée du nationalisme et du conservatisme, l’engouement pour le goth revient en force à échelle mondiale. Et c’est toujours à Londres, épicentre du mouvement, que l’on assiste à un véritable “goth revival” en tant que sub-culture rebelle et hautement créative. Pour faire le portrait de cette nouvelle génération gothique, Tracks est allé faire la fête au Wraith Club et a rencontré des créatures nocturnes fluides, libres et subversives qui investissent l’esthétique et la portée politique du mouvement.
La voiture, ça fait bander. Présentée dans la publicité comme un attribut de séduction et un gage de virilité, elle devient un objet de désir destiné avant tout aux hommes. En 1993, Audi ose même le slogan : Il a une Audi, il aura la femme. Si aujourd’hui les femmes achètent des voitures autant que les hommes, dans les esprits on peine à passer la vitesse supérieure. La voiture reste un symbole phallique par excellence, pourtant sa carrosserie, elle, est régulièrement comparée aux courbes d’une femme. Sa charge érotique est relayée et popularisé par le cinéma, de James Bond qui embarque ses conquêtes en Aston Martin, à Gatsby séduisant Daisy à bord de sa Rolls-Royce, au couple sado-masochiste du film Crash de David Cronenberg qui provoque des accidents de la route pour mieux s’exciter… Et plus on associe la voiture au corps et au sexe, plus on lui prête des qualités humaines. Certains “mécanophiles” ont de l’attirance sexuelle pour la prodigieuse mécanique des véhicules motorisés et sans aller aussi loin, les conducteurs et conductrices ne sont-ils pas tous et toutes amenés à entretenir des rapports très intimes avec leurs véhicules ?
Tracks passe derrière le volant et part à la rencontre des artistes qui interrogent le rapport étrange, presque charnel, que la société entretient avec l’automobile et qui veulent renverser les dynamiques sexistes qui se cachent sous le capot.
Clivante, scandaleuse ou franc succès ?
La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris a fait couler beaucoup d'encre (et de larmes).
Retour sur ces éloges et ces polémiques : pourquoi - et surtout comment- ont-elle émergé ?
2073, le nouveau documentaire d'Asif Kapadia, se paye une bande-annonce orwellienne avec ce mélange entre fiction et documentaire.
Rejoindre un groupe de résistance écologique qui mène des actions de sabotage : voilà ce que nous propose, en substance, Final Fantasy VII (raccourci en FF7). Dans ce jeu vidéo culte de 1997, dont la seconde partie du remake (« Rebirth ») est sortie en février dernier, les joueurs sont propulsés dans un monde technologique dominé par une compagnie industrielle écocidaire et dans un combat pour stopper ses funestes activités. Dans ce récit de science-fiction cyberpunk, les joueurs deviennent des saboteurs, qualifiés de « terroristes » par le pouvoir en place.
Alors que depuis les temps modernes, l’horizon était clair, évident, la crise écologique bouscule notre capacité à imaginer l’avenir. Le futur, prédisant une Terre inhabitable, nous saute au visage.
Fake nudes, détournement des standards de beauté, enrichissement des représentations et des imaginaires, hyper-réalisme… tout devient possible avec les images générées par l’intelligence artificielle. Rendue ultra accessible par des outils tels que MidJourney et DALL-E du géant Open AI, cette évolution technologique fait émerger une question fondamentale sur notre rapport à l’image : va-t-on créer une nouvelle forme de photographie, voire la rendre obsolète ?
Tracks part à la rencontre des photographes qui apprennent à utiliser l’IA avant qu’elle ne les remplace, interrogeant les notions d'art, de réel et de vérité. Véritable outil d’expansion de leurs capacités créatives, elle devient pour certains une intelligence collaboratrice capable de décupler le champ des possibles artistiques. Apprivoiser l'IA est un moyen d’échapper aux contraintes du monde réel, budgétaires ou logistiques. L’image rêvée est-elle vraiment à portée de prompt ?
📸 Arvida Byström : https://www.instagram.com/arvidabystrom
📸 Delphine Diallo : https://www.instagram.com/delphinediallo
📸 Luke Nugent : https://www.instagram.com/lukenugentstudio
00:00 Introduction
00:54 Ceci n’est pas un nude
01:56 Pousser à l’extrême le contrôle de son image
08:03 Explorer sans limites les représentations
13:58 Combiner photo et IA
#ia #photographie #aiphotography #generativeart #arte #culture
https://www.arte.tv/fr/videos/119473-002-A/tracks/
Retrouvez Tracks sur les réseaux sociaux :
Instagram : https://instagram.com/ARTEtracks
Facebook : http://facebook.com/TracksARTE
X : http://twitter.com/tracks_ARTE
Parmi les 12-17 ans, plus de 9 sur 10 possèdent un smartphone. Comment font les rares adolescents qui n'en ont pas ? Les relations avec les amis et les parents sont-elles différentes ? Franceinfo a interrogé plusieurs d'entre eux.
Cha' nous donne accès à un point de vue sociologique sur nos relations amicales. Comment passer d’une simple homophilie, à une relation forte, de confiance. Elle étudie les réseaux de Monsieur Bidouille et Nalla en nous expliquant les biais qui causent des différences comme l'âge, la naissance d'un enfant, l'effet cascade,... Mais aussi les avantages d'avoir de petits groupes d'amis ou des plus grands.
Mon rapport avec les jeux Remedy a toujours été complexe. Des productions fascinantes et avec une certaine aura, mais souvent imparfaites et maladroites.
En 2023, le studio finlandais sort Alan Wake II. Et force est de constater qu'après plus de dix ans à s'être perfectionné dans leur domaine, Remedy a atteint un niveau de maîtrise qu'il est rare de voir dans l'industrie du jeu vidéo actuelle. Et pourtant, c'est un modèle qui doit persister.
Marcello Vitali-Rosati, professeur à l'université de Montréal et titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les écritures numériques, affiche d'emblée la couleur : « Ce livre ne présente (…)
Mai 2026, en France. Un lycéen, un CPE, et une femme sont confrontés à une nouvelle réalité : la reconnaissance faciale. Lorsque les technologies de surveillance envahissent nos vies, que reste-t-il de nos libertés ?
_
Notre court-métrage « Dans leurs yeux » met en scène les possibles dérives de la reconnaissance faciale si elle s’installait dans notre quotidien. L’alerte est réelle : la reconnaissance faciale pourrait bientôt arriver en France où le recours aux technologies de surveillance se multiplie.
La reconnaissance faciale menace notre vie privée, accentue les discriminations, porte atteinte à nos libertés fondamentales.
Il suffit d’un seul réglage pour activer la reconnaissance faciale sur certaines caméras. Et il suffit d’une seule loi pour interdire cette technologie.
Alain Damasio, le plus grand auteur de SF français, s'est rendu au sein de la Silicon Valley pour raconter comment les nouvelles technologies façonnent nos vies. Dans « Vallée du Silicium » (édition du Seuil), Damasio parcourt le « centre du monde », celui des GAFAM, pour retracer la genèse de notre dépendance aux nouvelles technologies et réfléchir aux moyens de s’en libérer.
Cette année, le Prix Carmignac du photojournalisme est consacré au Ghana et aux enjeux écologiques liés à la gestion des déchets électroniques.
En 2016, on était horrifié par l’épisode dystopique de "Black Mirror" où les gens passent leur temps à se noter les uns les autres. Aujourd’hui, il nous paraît tout naturel de noter un livreur ou de mettre des étoiles à une location. Xavier de la Porte se penche avec le journaliste Vincent Coquaz sur cette tendance à la notation systématique des biens et des personnes.
Si les jeux de cartes à collectionner ont connu leur première heure de gloire à la fin des années 1990, ils attirent depuis la pandémie un nombre d’adeptes inédit. Mais comment fait-on pour créer un nouveau jeu de cartes ? Et comment une seule de ces cartes peut-elle valoir jusqu’à 2,6 millions de dollars canadiens ?
Magic the Gathering, Yu-Gi-Oh et autres cartes Pokémon reviennent ainsi en force. Le succès est tel que leur valeur marchande atteint aujourd’hui des sommets. Lorcana est le dernier acteur à s’être implanté sur le marché très convoité des Trading Card Games, ces jeux de cartes à collectionner. La nouvelle licence est le fruit d’une collaboration entre le fabricant allemand Ravensburger et le groupe Disney. Plusieurs jours avant le lancement officiel, leurs cartes étaient déjà toutes vendues. Mais où est la dimension ludique dans ce phénomène ? Le plaisir de jouer aurait-il été sacrifié sur l’autel des investissements branchés tels que les boîtes de Lego, les cryptomonnaies et autres NFT ? "Tracks" pose la question à des spécialistes et explore avec eux les racines du problème.