Un espace où vous pourrez retrouver des liens vers des articles qui m'ont interpellé, questionné, ou simplement fait rêver. Telle une constellation d'idées, de réflexions sur notre monde d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
Je partage mon temps entre l'accompagnement des citoyens sur les itinéraires du numérique et un travail photographique liant le paysage urbain, le hors champ et le jeu vidéo. Vous pouvez d'ailleurs, retrouver mon carnet de recherches sur mon blog.
Lutter contre le changement climatique ne suffira pas à “sauver la planète”. D’ailleurs ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, elle survivra, ce sont plutôt ses habitants qui sont aujourd’hui en grave danger. Or, pour préserver nos conditions de vie sur terre, on ne peut pas se contenter de régler le problème climatique. On en parle encore trop peu mais le changement climatique n’est qu’une seule des 9 limites planétaires à ne pas dépasser. Parmi ces autres équilibres, il y en a un qui est essentiel à notre survie et à celle des autres espèces : le maintien de la biodiversité. Or, aujourd’hui, les experts mondiaux le disent : la course au profit et à la croissance provoque et accélère l'effondrement de la biodiversité. Et ce que l’on ne réalise pas c’est que nous dépendons de la stabilité des écosystèmes naturels et donc de la biodiversité pour tout : respirer un air sain, boire de l’eau potable, nous alimenter, nous habiller, être en bonne santé… La dégradation de la biodiversité a déjà un impact négatif sur plus de la moitié de l’humanité en matière de santé et de cadre de vie. Et plus de la moitié de l’économie mondiale (PIB) repose sur la bonne santé des écosystèmes. Du 7 au 19 décembre s’est tenu un événement crucial pour cela : la COP 15 biodiversité à Montréal. C’est la conférence sur la biodiversité la plus importante depuis 10 ans. Elle a réuni les représentants de 190 pays et s’est lancé avec un objectif : adopter un nouvel accord international pour arrêter la destruction de la nature et donc de nous-mêmes. Je sais bien qu’un événement comme celui-ci ne déchaîne pas les foules et ne fait pas les audiences de la coupe du monde ! Pourtant c’est de notre survie collective qu’il s’agit. De défendre tout ce à quoi nous tenons le plus au monde.
Début juillet, Usbek & Rica avait lancé un défi à sa communauté : imaginer une France où toutes les saisons auraient disparu pour être remplacées par un éternel été… Après « Un nouveau souffle », de Cédric Teixeira, nous publions aujourd’hui en intégralité « La nuit verte », de Julien Deslangle, à découvrir également en version audio.
Longtemps considérée comme une saison tranquille et agréable, l’été deviendra-t-il bientôt invivable pour une majorité de Français ? Canicules, sécheresses, incendies… À l’heure du réchauffement climatique, les perturbations pourraient bien redéfinir la perception culturelle de cette période, qui s’annonce désormais comme « celle de tous les dangers ».
Comment (v)ont évolué les températures au cours du 21e siècle en France et à Lyon ? Quelles ont été les conséquences ? Je vous dis tout ! (Bon pas vraiment tout mais voilà je fais ce que je peux ok ?!)
« Si les gens ne migrent pas et si nous continuons à polluer comme nous le faisons, 75% de la population mondiale seront soumis à plus de 20 jours par an de conditions létales de température et d'humidité à la fin du siècle. »
Qu’adviendra-t-il de notre monde si jamais le réchauffement climatique débouche sur un effondrement ? L’humanité pourrait-elle disparaître ? La nature pourrait-elle reprendre ses droits, étendant ses ramifications au coeur des infrastructures bâties par les humains ? Ces questions, les artistes new-yorkaises Lori Nix et Kathleen Gerber tentent d’y répondre à travers leurs séries photo « City » et « Empire ».
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