«  Depuis hier, plus de 650 étudiants 
se sont inscrits sur thefacebook.com, 
et j’anticipe que 900 de plus rejoindront 
le site d’ici demain. » déclarait Zuckerberg dans le Crimson.
– Mon dieu, si j’étais un dealer 
de drogues, je ne pourrais pas donner 
des doses gratuites à 650 personnes 
en un jour »

The Social Network, 2010

Mais que se passe-t-il dans le secteur du jeu vidéo ?
Avec un chiffre d'affaires de 184 milliards de dollars dans le monde en 2023, les jeux vidéo rapportent largement plus que le cinéma et la musique.

L'obsession des joueurs pour les graphismes qui ont progressivement pris de plus en plus de place dans le monde du jeu vidéo a amené beaucoup de problèmes qui sont en train de détruire cette industrie de l'intérieur, dans cette vidéo on retrace comment en on est arrivé là, pourquoi les graphismes sont devenus aussi importants, pourquoi c'est malsain et destructeur et pourquoi l'avenir semble plus radieux que jamais.

C’est l’histoire d’un tour de magie que personne n’a remarqué ! En l’an 2000, quand le réalisateur Ridley Scott sort le film Gladiator, avec Russel Crowe, les effets spéciaux sont spectaculaires et novateurs. Mais il y en a un qui passe totalement inaperçu. Alors qu'en réalité, c'est une révolution pour le cinéma.

Fabriquées dans de modestes ateliers, les enseignes lumineuses en néons ont longtemps constitué un symbole de l’identité de Hongkong, à la croisée des cultures asiatique et occidentale. Alors que les tubes fluorescents sont peu à peu remplacés par des Led, certains habitants de la mégapole font de la résistance...

Pour trouver son chemin, et de préférence avec l’itinéraire le plus rapide, nombreuses sont les cartes dans nos poches : Google Maps, Waze, etc. Elles peuvent nous géolocaliser en temps réel, mesurer les distances parcourues, mais aucune d’entre elles n’est capable de représenter les ressentis et les vécus liés à nos déplacements. La contre-cartographie vient rebattre les cartes, et bouscule notre rapport utilitaire à l’espace. Ici, pas question de suivre la supposée objectivité scientifique, on veut représenter le monde tel qu’on le vit pour mieux mettre en avant les problématiques invisibles à l'œil nu : dynamiques raciales, enjeux environnementaux ou même nos propres questionnements intérieurs.
Tracks part à la rencontre de celles et ceux qui spatialisent les enjeux sociétaux et cartographient notre intime. L’artiste canadienne Larissa Fassler dessine les contours des inégalités qu’elle lit dans les espaces publics. Le danseur et performeur Mathias Poisson porte son attention sur le vivant et suit ses sens pour cartographier sa subjectivité. Stéphanie Sagot, quant à elle, œuvre à retranscrire le monde sous un prisme éco-sensible avec des cartes-peintures de paysages.