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Pour cette vidéo, on a eu l'idée de parler du film A.I. Intelligence artificielle (2001) de Steven Spielberg avec ChatGPT et d'ouvrir la conversation à la représentation des intelligences artificielles au cinéma en générale. En est ressorti un échange amusant et parfois émouvant qu'on a eu le plaisir de retranscrire ici avec moult effets visuels.
En France, on a une spécialité : doubler tout le monde. Mais pourquoi ? On vous explique d'où vient la culture de la VF.
Alors que l'album Random Access Memories fête ses dix ans avec une nouvelle édition, retour sur le lien privilégié de Daft Punk avec le cinéma.
La nouvelle a brisé
Analyse du film interactif Black Mirror Bandersnatch : futur du divertissement et mise en abyme vertigineuse... jusqu'à quel point ? (Planète B, Blast)
Le premier film de l'écrivaine Alice Zeniter co-réalisé avec Benoît Volnais, à découvrir le 19 avril, s'attache au parcours d'un homme résigné à ne pas avoir d'enfant mais dont les certitudes sont remises en cause par un test de grossesse positif.
Une ville entre rêve et cauchemar. Du 12 avril au 6 juillet 2023.
Découvrez la richesse de mise en scène de David Fincher en particulier dans Se7en (1996), qui permet de mieux comprendre le reste de sa carrière, mais également le propos qu'il développe sur la société à travers ses choix visuels.
J'ai eu BEAUCOUP de soucis de copyright avec cette vidéo (j'essaye de la mettre en ligne depuis le 1er mars !), donc j'espère qu'elle ne se fera pas bloquer. sa première version faisait 1h, j'ai dû beaucoup couper, désolé s'il y a des soucis de rythme, j'ai essayé que ça ne soit pas trop visible.
Et merci à Rafik Djoumi de m'avoir fait remarquer l'anonymat de "cette ville" !
Un prédicateur vous révèle les messages cachés des films post-apocalyptiques :
En 2015, sort Mad Max : Fury Road de George Miller ! Si le film dénonce de nombreux travers humains, il recèle en réalité un message bien plus profond. Ecoutez le prêche du Prédicateur et découvrez le message caché de Mad Max : Fury Road !
🎬 Écrit et réalisé par Mike Zonnenberg & Fabio Soares, le Prédicateur est interprété par Vincent Heneine.
Le lien en 6 étapes entre Fenêtre sur cour et Tonnerre sous les tropiques.
– Une vidéo signée https://www.calmos.net
LE LIEN est une pastille cinéphile pleine d'anecdotes et de bonnes recos.
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En modernisant le voyage dans le temps, la trilogie culte de Robert Zemeckis a su résister à ses outrages. Les raisons du succès d’une saga à l’exubérance eighties.
C’est un des scénarios les plus refusés de Hollywood : plus de quarante fois ! Aucun producteur ne croyait à ce projet de Robert Zemeckis et Bob Gale, un tandem inventif surnommé "les deux Bob". Pas rancunier, Steven Spielberg, qui leur doit pourtant trois flops, impose le film auprès des studios Universal, Gale signant le script et Zemeckis assurant la réalisation. Le réalisateur des Dents de la mer ne le regrettera pas. En 1985, Retour vers le futur pulvérise le box-office et devient un succès planétaire, conforté par deux suites en 1989 et 1990. Décennie après décennie, la popularité de cette trilogie ne faiblit pas. Pourquoi cette longévité alors que tant de blockbusters sombrent dans l’oubli ? Il est vrai que Retour vers le futur a lifté le genre poussiéreux du voyage dans le temps, grâce à une panoplie aujourd’hui vénérée pour son kitsch eighties : walkman, skate ou voiture de sport trafiquée (la célèbre DeLorean qui slalome du passé au futur). Mixant comédie et science-fiction, le premier volet brasse des thèmes universels comme le rêve américain ou les relations familiales, et se donne pour cadre une banlieue ordinaire, ce qui le rend très accessible. Remplaçant au pied levé l’infortuné Eric Stoltz, pas assez drôle selon les producteurs, Michael J. Fox prête sa bouille clownesque à l’adolescent Marty McFly, propulsé par hasard en 1955. En modifiant le passé, cet antihéros attachant va s’efforcer d’améliorer le présent, à commencer par ses désastreux parents.
Cette étude de la figure de l'extra-terrestre au cinéma à travers l'analyse de films tels que Invasion Los Angeles, L'Invasion des profanateurs de sépultures, District 9, Starship Troopers et Avatar est signée Calmos.
Pour ce premier sujet de l’année 2023, Blow up voit rouge. En effet, pour démarrer cette nouvelle année, nous avons eu envie de poursuivre notre série chromatique en nous concentrant donc, après le bleu, sur la couleur rouge…
Comment le cinéma regarde les femmes ? Et comment les spectatrices et spectateurs regardent les films ? Quelques éléments de réponses dans cette petite histoire de la théorie féministe du cinéma...
En 2048. Doug Quaid rêve chaque nuit qu'il est sur la planète Mars ; mais est ce vraiment un rêve ou un choix futur qui va le guider vers une terrible décision ?
La sortie en salles cette semaine d’Avatar 2 la voie de l’eau nous a donné envie de reprendre notre série chromatique dans Blow up, avec donc aujourd’hui, avant le rouge, le vert ou le jaune, la couleur bleue au cinéma. Alors quelles pourraient bien être nos films/scènes bleus préférés de l’Histoire du cinéma ?
1931, le cinéma est devenu parlant.
Charles Chaplin, Fritz Lang, deux des réalisateurs les plus importants de la période du muet, se retrouvent confrontés à cette nouvelle donne. Son synchrone, bruitage, musique, dialogue : le cinéma en est bouleversé.
Voyons comment les réalisateurs de M LE MAUDIT et LES LUMIÈRES DE LA VILLE vont prendre en prendre en main ces nouveaux outils pour les adapter à leur cinéma.
Une plongée dans la vie et les écrits d’un extraordinaire écrivain de science-fiction, Philip K. Dick ("Minority Report", "Blade Runner"), dont l’oeuvre a anticipé comme aucune autre le monde paranoïaque et technologique de notre XXIe siècle.
L’œuvre de K. Dick est souvent comparée à celle de Kafka, Orwell et Asimov, mais plus de trente ans après sa disparition, l’écrivain semble être le plus visionnaire de l’ère digitale. Figure de la contre-culture, mais méconnu de son vivant, il fait partie de ces auteurs dont le nom est devenu un adjectif : "dickien". Il existe un sentiment dickien de l’existence, fait de doutes et d’angoisses sur la nature du réel, mais aussi de questionnements sur la notion d’humanité.
Agoraphobe, l'écrivain n’a quasiment jamais quitté sa banlieue californienne, mais a voyagé en esprit à travers un nombre incalculable d'univers – souvent avec l’aide d’amphétamines. Il décrit nombre des thèmes qui hantent nos vies aujourd’hui : les mondes virtuels, les sociétés totalitaires, les technologies asservissantes ou les désastres écologiques.
Et si, en cette période d’Halloween, nous parlions de la fin du monde au cinéma ?
Frédérick Sigrist a choisi de nous parler d'Alien, un film de Ridley Scott sorti en 1979, pour la raison suivante : il est souvent cité comme exemple de la bonne manière de mettre en scène une femme forte à l'écran. Cité par des hommes qui ont souvent des reproches à faire sur la représentation des femmes fortes à l'écran.
Une plongée dans la vie et les écrits d’un extraordinaire écrivain de science-fiction, Philip K. Dick ("Minority Report", "Blade Runner"), dont l’oeuvre a anticipé comme aucune autre le monde paranoïaque et technologique de notre XXIe siècle.